En formant amate, nous avons comme ambition commune d’interroger les logiques de formes inhérentes à l’architecture. Bien avant l’acte de (peut-être) bâtir, se posent des questions de types, de références, de territoires et l’importance de leurs traductions pour s’inscrire dans un contexte et une époque. L’architecture est transverse. Elle se révèle par strates successives. Elle est sédimentaire, multiple, et se nourrit de cultures et de disciplines exogènes.
C’est avec cette sensibilité et cette volontaire ouverture que nous tentons de relever chaque défi. Non sans effort nous travaillons à simplifier et clarifier chaque intervention. Nous sommes convaincu·e·s que faire mieux signifie souvent faire moins, et que le pragmatisme et l’amour de la discipline permettent d’approcher une forme d’évidence.
« amate l’architettura, la antica, la moderna », in Amate l’architettura, Gio Ponti, ed: Vitali e Ghianda, 1957, Gênes
amate s’inscrit dans les valeurs intransigeantes d’écologie et de féminisme intersectionnel.